Le propriétaire a rêvé, il a analysé, le public était partagé, le marché a tranché», a philosophé Aymeric Rouillac en remisant le lot présenté comme le «dernier grand nu de Courbet», lors de sa garden party, qui fut par ailleurs un franc succès. Estimé autour de 400 000 €, le tableau n’a pas suscité d’enchère en dépit d’une...
Estimé autour de 400 000 €, et présenté comme le «dernier grand nu de Courbet», le tableau n’a pas suscité d’enchère en dépit d’une large promotion.
Estimé autour de 400 000 €, et présenté comme le «dernier grand nu de Courbet», le tableau n’a pas suscité d’enchère en dépit d’une large promotion.
Le propriétaire a rêvé, il a analysé, le public était partagé, le marché a tranché», a philosophé Aymeric Rouillac en remisant le lot présenté comme le «dernier grand nu de Courbet», lors de sa garden party , qui fut par ailleurs un franc succès. Estimé autour de 400 000 €, le tableau n’a pas suscité d’enchère en dépit d’une large promotion et d’articles louangeurs sur cette découverte et son inventeur. Il était mis en vente par Johann Naldi, marchand qualifié par Michel Onfray d’ «authentique découvreur de trésors», qui avait trouvé cette œuvre dénuée d’historique pour 650 € dans une vente courante à Drouot il y a dix ans. La restauration, dit-il, a permis de mettre au jour une signature, estompée…
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