La foire dédiée originellement aux peintures et sculptures, ouvre son horizon et devient plus généraliste en réunissant soixante-neuf galeries, dont treize étrangères.
En raison de la pandémie, l’édition 2021 de Fine Arts Paris, au lieu de se déployer dans la cour du Dôme des Invalides comme il était initialement prévu, reste au Carrousel du Louvre. Qu’importe, le bouquet de la mariée est tout aussi luxuriant. Et s’il privilégie les couleurs de la peinture ancienne et de la sculpture – les deux thèmes fondateurs de Fine Arts Paris –, il s’ouvre aussi à d’autres tonalités : arts premiers, bibliophilie, arts d’Asie, porcelaines et même joaillerie... Aux côtés des membres organisateurs, les fidèles sont de retour : Benjamin Steinitz , Françoise Chibret-Plaussu et sa fille Florence (galerie de la Présidence), Xavier Eeckhout , Michel Descours , Jacques Sargos et Clémence Dollier (L’Horizon chimérique), Arnaud Charvet ou encore Jacques Leegenhoek… mais aussi le Londonien Charles Beddington et la New-Yorkaise Marianne Rosenberg . Et treize primo-participants font leur entrée ! Parmi eux, les spécialistes de sculpture Robilant + Voena, présents à Paris, Londres, Milan et New York, ainsi que Laocoon Gallery & W. Apolloni, deux enseignes habituées des grandes manifestations internationales. Non sans humour, Monica Cardarelli, responsable de la galerie, précise : «Même si Astérix tapait sur la tête de nos ancêtres, nous aimons la France comme notre ancienne province de l’Empire la plus réussie. Bref, nous aimons Paris et chaque occasion d’y venir est une joie. Spécialement à cette occasion où l’on pourra montrer des artistes italiens plus rares,…
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