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Gustavo Prado, de l’autre côté du miroir

Publié le , par Marie-Salomé Peyronnel

Il a été invité par le festival Coachella pour installer sa première œuvre gigantesque dans le désert californien. Le point sur ce jeune artiste brésilien qui explore les différentes facettes de l’espace, fût-il privé, public ou personnel.

Gustavo Prado, 2017. © leandro viana Gustavo Prado, de l’autre côté du miroir
Gustavo Prado, 2017.
© leandro viana
On a pu découvrir son travail pluridisciplinaire, jonglant intelligemment entre la sculpture, la photographie, le dessin et la performance, aux quatre coins du monde : sous le commissariat de Marc Azoulay, à la foire indépendante Spring/Break Art Show à New York (2016 et 2017), au musée d’Art moderne de Rio de Janeiro (2007) ou encore au Carreau du Temple, pendant l’Année du Brésil en France (2005). Mais c’est sa série de sculptures «Measure of Dispersion», initiée en 2014, qui vient de propulser Gustavo Prado sous le feu des projecteurs. Dans ce pan de sa pratique, l’artiste de 36 ans agence des rétroviseurs et miroirs pour morceler et démultiplier l’espace. En avril dernier, sa toute dernière structure…
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