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Le faux peut attendre

Publié le , par Vincent Noce
La condamnation, le 17 avril dernier pour contrefaçon, du marchand américain Gary Snell, qui avait mis en vente des centaines de (mauvaises) copies en bronze de Rodin, est prononcée dix-huit ans après le dépôt de plainte du musée Rodin. Et encore, l’arrêt peut faire l’objet d’un recours en cassation, ce qui pourrait bien...
    Le faux peut attendre
   
© Geneviève Marot
La condamnation, le 17  avril dernier pour contrefaçon, du marchand américain Gary Snell, qui avait mis en vente des centaines de (mauvaises) copies en bronze de Rodin, est prononcée dix-huit ans après le dépôt de plainte du musée Rodin. Et encore, l’arrêt peut faire l’objet d’un recours en cassation, ce qui pourrait bien mener la procédure jusqu’au terme d’une vingtaine d’années. L’auteur du délit est désormais septuagénaire. Si l’on reprend ces paramètres, le processus ouvert il y a quatre ans sur les soupçons de faux pesant sur une série de tableaux anciens a donc quelque chance d’aboutir d’ici …
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