Vente le
11 octobre 2022 - 14:15 (CEST) -
Salle 4 - Hôtel Drouot - 75009
La curiosité est un joli défaut et Michel Rullier ne dirait pas le contraire, qui cède aujourd’hui casse-noisettes, mouchettes, râpes à tabac, buis sculptés, couverts anciens, roulettes de pâtissier…
Anvers, fin du XVIIe siècle. Meuble d’apparat en placage de palissandre incrusté de motifs et de scènes en étain s’inspirant des gravures du recueil de Johann Nieuhof, Gesandtschaft der Ost Indischen Gesellschaft, publié en 1669, 131 x 95 x 62 cm. Estimation : 25 000/45 000 €
Anvers, fin du XVIIe siècle. Meuble d’apparat en placage de palissandre incrusté de motifs et de scènes en étain s’inspirant des gravures du recueil de Johann Nieuhof, Gesandtschaft der Ost Indischen Gesellschaft, publié en 1669, 131 x 95 x 62 cm. Estimation : 25 000/45 000 €
«Aujourd’hui, une page se tourne, ces objets reprennent une nouvelle vie et continueront à exister dans de nouveaux lieux accueillants, des collections avec cette même et éternelle mission : améliorer les connaissances des générations futures et remercier celles du passé», écrit Michel Rullier, fils de pharmacien devenu antiquaire à Poitiers après une formation aux Beaux-Arts, spécialiste de la Haute Époque et du XVIII e siècle. Aussi discret que courtois, Michel Rullier, pour qui «seule la folie est raisonnable» a cherché durant plus de soixante ans aussi bien l’objet simple que la perle rare. Le 10 mars 2010, sous le marteau de la même maison de ventes à Drouot, sa collection…
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