Réunies par l’éditeur et collectionneur Patrick Mauriès au musée Marmottan Monet, les œuvres des peintres néoromantiques célèbrent les sensibilités d’un groupe d’artistes que le XXe siècle a longtemps mis de côté. Une éloquente remise en lumière.
Intérieur, forcé ou volontaire, l’exil est, pour tout artiste, un ferment de création. Il fut le socle commun d’un groupe de peintres, que le critique Waldemar-George baptisa néoromantiques et néo-humanistes, et constitue, dans l’exposition qui les rassemble, une narration en filigrane. Embrassant en une centaine d’œuvres principalement en mains privées – rarement voire jamais présentées –, son parcours limpide, tant chronologique que thématique, traverse le XX e siècle des années 1920 aux années 1970, égrenant les influences, les individualités…
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