La galerie Maria Wettergren expose actuellement le travail du designer danois, mélange de raffinement artisanal et de très haute technologie. Ou comment s’émanciper de l’héritage organique…
Aujourd’hui, nous n’avons pas besoin d’une énième chaise produite en série pour le plus grand nombre au plus bas prix ; il y en a déjà des millions ! affirme Maria Wettergren. Au milieu de cette saturation de la culture du consommable et jetable, je suis davantage attirée par la notion du slow art et l’idée de l’artiste-inventeur polyvalent, à la façon d’un Léonard de Vinci qui était à la fois peintre, poète, botaniste, etc. Peut-être va-t-on enfin sortir du côté spécialisé et je crois que le design est bien placé pour cela, puisque le designer est traditionnellement en contact avec tous les domaines de production.» Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore la galeriste parisienne, voilà qui donnera un aperçu des designers qu’elle défend. Parmi…
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