Vente le
28 février 2024 - 13:30 (CET) -
12, rue des Arènes - 49100 Angers
Deux tableaux dont la dernière apparition remonte à 1830, lors de la vente après décès du peintre, viennent enrichir notre vision de Jean-Baptiste Regnault.
Jean-Baptiste Regnault, dit le baron Regnault (1754-1829), Les Trois Grâces, panneau de noyer parqueté, signé, encadré à l’ovale, 61,5 x 45,5 cm. Estimation : 80 000/120 000 €
Jean-Baptiste Regnault, dit le baron Regnault (1754-1829), Les Trois Grâces, panneau de noyer parqueté, signé, encadré à l’ovale, 61,5 x 45,5 cm. Estimation : 80 000/120 000 €
En 1799, le «citoyen David» organise, en marge du Salon officiel, sa propre exposition des Sabines (Paris, au musée du Louvre), dont l’entrée est payante. Dans la foulée, le «citoyen Regnault» fait de même et publie un fascicule intitulé : «Exposition de trois tableaux dans une des salles du Palais national des sciences et des arts». Jean-Baptiste Regnault montre ainsi trois œuvres, trois visions du nu en peinture : La Mort de Cléopâtre (Düsseldorf, Museum Kunstpalast), Les Trois Grâces (Louvre) et Hercule et Alceste (non localisée). La troisième sera également présentée au Salon de 1802, dernière manifestation publique de l’artiste. Les œuvres de 1799 réapparaissent dans la vente suivant le décès de Regnault, mort en 1829. À cette occasion, le fils Paillet, expert, décrit également une autre version des Trois Grâces , «de forme ovale et dans une petite proportion», ainsi qu’une déclinaison d’…
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