Vente le
09 février 2022 - 14:00 (CET) -
3, rue Favart - 75002 Paris
Paul Gauguin et Émile Bernard sont deux des noms à retenir de cette dispersion consacrée aux estampes. Le premier évoque un souvenir de la Martinique, le second nous emmène en Bretagne.
Émile Bernard (1868-1941), Les Bretonneries, 1889, ensemble de neuf zincographies dans un portefeuille in-folio contenant les sujets tirés sur vélin ivoire enluminés à l’aquarelle par l’artiste, 38 x 46 cm. Estimation : 25 000/30 000 €
Adjugé : 448 000 €
Émile Bernard (1868-1941), Les Bretonneries, 1889, ensemble de neuf zincographies dans un portefeuille in-folio contenant les sujets tirés sur vélin ivoire enluminés à l’aquarelle par l’artiste, 38 x 46 cm. Estimation : 25 000/30 000 €
Adjugé : 448 000 €
À l’Exposition universelle de 1889, une section consacrée aux beaux-arts permet d’admirer cent ans de peinture française. Certains artistes encore inconnus n’ont pas la chance d’être montrés. Ils investissent le café Volpini, rebaptisés Café des arts, situé dans l’enceinte de l’exposition, en décorant de leurs œuvres…
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