Giovanni Giacometti (1868-1933)

Par ses couleurs célestes, cette toile du peintre suisse, père des célèbres Diego et Alberto, nous aspire dans l’immensité de l’horizon alpin ; elle décrochait une adjudication millionnaire sous le marteau de Koller.

Connu pour ses paysages de montagne aux couleurs puissantes, le postimpressionniste suisse livre, vers la fin de la guerre, une version idéalisée d’un ruisseau à Maloja.

La collaboration fructueuse entre Alberto Giacometti et Jean-Michel Frank a toujours attiré les collectionneurs, hier comme aujourd’hui.

À quelques jours d’écart avec la vente exceptionnelle de plusieurs pièces réalisées par Alberto Giacometti pour Jean-Michel Frank, une autre version de la lampe Égyptienne, celle-ci peinte en noir, pourrait faire événement.

Alberto Giacometti et Georges Mathieu, avec son geste spontané, tenaient chacun le flambeau.

Baptisée « Œuvres choisies », cette dispersion dévolue à des pièces remarquables du XXe siècle – pour certaines en possession de Margaret Louise Brozek – n’avait pas volé son nom, célébrant l’art de Diego Giacometti, François Pompon, ou encore Georges Jouve…

Brève, l’aventure surréaliste du sculpteur grison reprend cet hiver à l’Institut Giacometti. L’occasion d’un focus sur ses affinités électives, partagées en premier lieu avec André Breton.

Anciens et modernes se disputaient les faveurs des enchérisseurs, les seconds emmenés par Alberto Giacometti l’emportant.

Temps fort de la collection réunie par les Henson, couple d’esthètes de la Café Society, quatre œuvres d’Alberto Giacometti se sont littéralement envolées.

La femme et la nature étaient les muses de cette vente d’arts décoratifs du XXe siècle.