Joseph Antoine Bernard (1866-1931)

Sous le signe du 2e art, cette vacation enregistrait de beaux résultats, plébiscitant notamment Joseph Antoine Bernard et son iconique porteuse d’eau.

Thème favori du sculpteur français du début du XXe siècle, le corps de la femme est le sujet de ce bronze, comme saisi par un rythme de danse. Présenté bientôt à Lille, il nous invite à revisiter une œuvre puissante.

Emmenées par un faune joyeux de Joseph Bernard, les sculptures modernes jouaient de leurs fontes et de leurs patines pour retenir l’attention.

Longtemps minorée voire oubliée, la statuaire de Joseph Bernard reprend vie à La Piscine. Un défi voluptueusement relevé.

Si le peintre de Pont-Aven a souvent collaboré avec le monde de l’édition, ces lavis inédits témoignent d’un projet empêché.

Le sculpteur moderne dominera cette vente lilloise avec un bronze au sujet typique de son travail sur le mouvement et la ligne.

Le sculpteur art déco célèbre la pureté des lignes avec cette jeune fille, allégorie de la féminité.

Le retour à l’ordre classique de ce peintre qui fut pourtant à la pointe de l’avant-garde était salué par les enchères.

Des portraits féminins donnaient le ton, allant de la touche légère de l’un au coloris fort de l’autre, assortis d’un paysage signé Verdilhan.

L'artiste a tenu une place majeure et singulière dans la sculpture du début du XXe siècle, notamment par ses œuvres influencées par le symbolisme, à l’image de ces Chants immortels.