René-Auguste Seyssaud (1867-1952)

Le peintre provençal était la vedette de la vente organisée par Sophie Himbaut OVV à Aix-en-Provence le jeudi 22 juin. René Seyssaud (1867-1952) signait une estivale Nature morte, peinte sur toile et datée «1948» (Mme Bonnici). Mesurant 101 x 73 cm, l’œuvre...

Dans le village de Villes-sur-Auzon, on n’a pas oublié René Seyssaud.

Entre les pages d’une des premières monographies consacrées à Rodin, richement reliée, un dessin de Saint Jean-Baptiste, dédicacé à l’une des correspondantes du sculpteur, pourrait bien créer l’événement.

En reporter, il s’inscrit dans la tradition des dessins de voyage, comme en témoigne cette vue de Tahiti en 1844.

Réalisée en 1945 par Eugène Rudier, cette fonte posthume en bronze restitue l’une des figures de la célèbre Porte de l’Enfer...

René-Auguste Seyssaud (1867-1952) appartient à une génération de peintres qui apportèrent un nouveau souffle à la peinture provençale en l’ouvrant à la couleur et aux avant-gardes fauvistes. Ici, il choisit des arbres emblématiques, non pas les oliviers...

La toile placée sous les auspices du dieu de l’Amour a séduit pour son énergie, traduite par les formes géométriques et les couleurs primaires qui sont la signature du peintre.

Conservé dans la même famille depuis au moins deux générations, ce pastel évoque les nombreuses études préparatoires du maître sur l’un de ses sujets favoris : les enfants.

Bouchons de radiateur et mascottes automobiles seront mis à l’honneur lors de la dispersion de la collection de Monsieur G. L.. Lancée avant la Première Guerre mondiale, cette mode doit beaucoup à René Lalique.

Haute en couleur, cette toile est une œuvre de maturité de l’artiste, réalisée deux ans avant sa mort, à l’âge de 27 ans.