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FIAC 2017, la continuité avant tout

Publié le , par Alain Quemin

La FIAC s’est imposée au cours des ans parmi les meilleures foires d’art contemporain. Associée à une image plutôt classique et sérieuse, elle vise surtout à consolider sa position. Qu’en sera-t-il pour cette 44e édition ?

Yan Pei-Ming (né en 1960), Untitled (TBC), 2017, huile sur toile, 150 x 180 cm. COURTESY... FIAC 2017, la continuité avant tout
Yan Pei-Ming (né en 1960), Untitled (TBC), 2017, huile sur toile, 150 x 180 cm.
COURTESY GALERIE THADDAEUS ROPAC
La FIAC reflète bien le marché de l’art contemporain actuel, quelque peu attentiste, marqué par la recherche de stabilité. Après avoir connu un formidable développement, suscité notamment par le retour sous la magnifique verrière du Grand Palais après des années d’exil et de déclassement au Parc des expositions, porte de Versailles, la foire parisienne ne peut ignorer le nuage qui assombrit désormais son avenir. Après son édition de 2020, elle devra de nouveau renoncer à l’écrin du Grand Palais, le lieu où elle se déroulera ensuite n’étant toujours pas connu. Une incertitude malvenue sur un marché qui aime la stabilité, surtout à un moment où le système des foires internationales est devenu extrêmement concurrentiel. En 2017, et avant cette épreuve à venir, la 44 e   édition de…
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