Alexej Von Jawlensky (1864-1941)

Pour ses 20 ans, la Piscine de Roubaix rend grâce à l’œuvre rare du peintre russe, mystique moderne dont les saintes faces auront doté l’histoire de l’art de visages abstraits uniques en leur genre. 

La chaîne culturelle met un l'honneur l’artiste russo-allemand Alexej von Jawlensky : Le Peintre des mille visages se penche sur la vie et la carrière de celui qui émigra en Suisse après la Première Guerre mondiale, où il débuta sa série des «Têtes abstraites». Diffusion dimanche 24 mars à 17h45.

A la recherche du visage idéal, qu’il finira par trouver à travers l’expressionnisme, l’artiste russe débute son cheminement mystique par le portrait émouvant d’un Juif en prière… perdu et retrouvé.

Peinture d’Alexej von Jawlensky, orfèvrerie de Fabergé et objet d’art de Nicolas Roerich : la Russie a ses grands noms.

Estimé 2,5/3,5 M€, le tableau Tête de femme avec des fleurs dans les cheveux – créé vers 1913 par Jawlensky (1864-1941) – a passé près de 100 ans en mains privées. Représentatif de la phase de travail la plus importante de l’artiste avant la Première Guerre mondiale, il sera proposé le 10 décembre par Ketterer Kunst.

De la nymphe art nouveau sous le crayon de Mucha, à l’égérie fatale chez Jawlensky, en passant par les succubes surréalistes d’Oscar Dominguez…

Histoire et géographie étaient au menu, avec des correspondances échangées entre les membres de la famille impériale, et des armes récoltées dans les mers du Sud.

Véritable Angevin, Alexis Mérodack-Jeaneau (1873-1919) a droit à la première grande rétrospective de son œuvre, organisée par sa ville d’origine et de cœur, cent ans après sa disparition. Cette exposition s’est construite autour de la Créole au perroquet,...

Lorsqu’il signe ce Portrait d’un jeune garçon, « Bubi », en 1907, Franz von Stuck vient d’être anobli par le prince-régent Léopold de Bavière. Cette petite huile sur bois (31 x 31 cm) est longtemps restée entre les mains d’une famille noble du sud de...

Deux feuilles de Von Stuck et Lévy-Dhurmer survolaient cette vacation dédiée aux modernes, et ce n’était pas un péché !