Max Liebermann (1847-1935)

L’impressionniste allemand signe ici une œuvre tardive montrant le parc berlinois baigné d’une douce lumière estivale et envahi de promeneurs.

Fruit d’un long travail préparatoire, le tableau de l’impressionniste allemand Max Liebermann réapparaît sur le marché pour la première fois depuis soixante-cinq ans.

Un combat amical filmé par la caméra de Henrike Sandner et programmé par la chaîne franco-allemande le 9 février à 18h :  le premier y défendra l'impressionnisme, le second l'expressionnisme (2016).

Les œuvres de Max Liebermann vendues sous le marteau en France se comptent sur les doigts d’une main… Et elles sont recherchées des deux côtés de l’Atlantique.

Cette toile détonne au milieu des portraits et des scènes d’extérieur qui ont fondé la notoriété de Max Liebermann : elle s’inscrit dans un groupe de tableaux exécutés par le peintre mélomane pendant les concerts de l’Opéra national de Berlin.

Grâce au don d'une mécène locale, le musée viennois a pu acheter en vente publique, chez Ketterer Kunst, un portrait d'Arthur Schnitzler, l'un des auteurs les plus populaires d'Autriche. Il est actuellement présenté au public dans l'exposition consacrée au peintre expressionniste, jusqu'au 25 février.

Portraitiste affirmé, Jean-Gabriel Domergue livre ici celui d’une femme de la bonne société, empreint d’une légèreté toute italienne.

Cette peinture, véritable explosion de couleurs tendres, a été récompensée ainsi que d’autres tableaux modernes.

Cette œuvre énigmatique et colorée s’inscrit dans une vaste série que le peintre initia en 1928, mêlant le végétal au minéral.

En 1930, Max Ernst (1891-1976) publie le Rêve d’une petite fille qui voulut entrer au carmel, aux éditions du Carrefour, et l’accompagne de 80 reproductions de collages originaux. Il s’agit là du deuxième des trois «romans-collages» du surréaliste, un...