Avec leurs monuments revisitant le réel, les peintres italiens font perdre leur latin aux architectes.
Terre de bâtisseurs dont les vestiges antiques stimulent l’imaginaire à mesure qu’ils se dévoilent, l’Italie est la patrie du capriccio, un genre dans lequel les ruines ont le premier rôle. De Viviano Codazzi au XVIIe siècle à Giovanni Paolo Panini – son grand représentant du siècle suivant –, il brouille les pistes en s’inspirant des découvertes archéologiques. Si de célèbres édifices romains sont reconnaissables…
com.dsi.gazette.Article : 51627
Ce contenu est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.