L’héritage du collectionneur Armand Dorville, objet selon Emmanuelle Polack dans Le Monde d’« une des plus importantes ventes spoliatrices en France », continue d’empoisonner les musées. Ils refusent de considérer comme spoliatrice cette dispersion à Nice en 1942, au motif qu’elle avait été préparée par ses héritiers, avant...
L’héritage du collectionneur Armand Dorville, objet selon Emmanuelle Polack dans Le Monde d’« une des plus importantes ventes spoliatrices en France », continue d’empoisonner les musées. Ils refusent de considérer comme spoliatrice cette dispersion à Nice en 1942, au motif qu’elle avait été préparée par ses héritiers, avant que les fonds ne fussent saisis par le Commissariat aux questions juives. L’État a conclu que la vente se serait déroulée « sans contrainte ni violence ». Considérant cependant comme trouble l’acquisition de douze lots par le conservateur du Louvre René Huyghe, en liaison avec l’administrateur…
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