Réactivant la querelle des anciens et des modernes, les vitraux réalisés dans les années 1930 pour la cathédrale sont présentés à Troyes. L’occasion de découvrir un ensemble spécialement restauré pour l’exposition.
Jacques Le Chevallier (1896-1987), Sainte Geneviève, 1937, verre et plomb, 560 x 130 cm (détail), Troyes, Cité du Vitrail, archives départementales de l’Aube. Photo : Elsa Viollet André Rinuy (1897-1989), Saint Louis, 1937, verre et plomb, 560 x 130 cm (détail), Troyes, Cité du Vitrail, dépôt de la DRAC Ile-de-France. Photo : Corentin Péchiné
Jacques Le Chevallier (1896-1987), Sainte Geneviève, 1937, verre et plomb, 560 x 130 cm (détail), Troyes, Cité du Vitrail, archives départementales de l’Aube. Photo : Elsa Viollet André Rinuy (1897-1989), Saint Louis, 1937, verre et plomb, 560 x 130 cm (détail), Troyes, Cité du Vitrail, dépôt de la DRAC Ile-de-France. Photo : Corentin Péchiné
Àcinq mois de la réouverture annoncée de Notre-Dame de Paris, la Cité du Vitrail expose pour la première fois une douzaine de vitraux réalisés dans les années 1930 par quelques-uns des plus grands maîtres verriers de l’époque. Sainte Geneviève, Saint Louis, saint Martin… ont inspiré Jacques Le Chevallier, André Rinuy ou Jean Hébert-Stevens, qui entendaient remplacer par leur création de style cubiste les grisailles d’Eugène Viollet-le-Duc, dont un oculus est présenté. Disposés dans les baies hautes de la nef de la cathédrale, au début de 1939, ils en avaient été…
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