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Le cabinet Turquin s'associe avec Stéphane Pinta et la famille de Bayser

Publié le , par Carole Blumenfeld

Stéphane Pinta, dix-huit ans de maison, ainsi que Patrick, Louis, Matthieu et Augustin de Bayser, entrent au capital du cabinet d’expertise pour assurer sa pérennité. Éric Turquin répond à nos questions.

De gauche à droite : Matthieu de Bayser, Stéphane Pinta, Augustin de Bayser et Éric... Le cabinet Turquin s'associe avec Stéphane Pinta et la famille de Bayser
De gauche à droite : Matthieu de Bayser, Stéphane Pinta, Augustin de Bayser et Éric Turquin.
PHOTO Henri du Cray
Vous ouvrez le capital de votre cabinet à MM. Pinta et de Bayser, pourquoi ce mariage ? « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin », dit l’adage. J’ai toujours eu besoin des autres et j’ai plus de plaisir lorsque Stéphane Pinta ou Philippine Motais de Narbonne trouvent un tableau à Toulouse que lorsque je le découvre moi-même. Tout comme lorsque Jérôme Montcouquiol fait une attribution. Cela démultiplie les possibilités ! Vous ne vous retirez donc pas des affaires ? Bien au contraire, mais il serait inconcevable de compromettre la stabilité de plus de 350 é tudes de commissaires-priseurs s’il devait m’arriver quelque chose. Aujourd’hui, si je venais à disparaître, aucun de nos clients n’en ressentirait les conséquences, et c’est l’essentiel pour maintenir la confiance de nos partenaires. Je dois tout aux commissaires-priseurs, et surtout cela  ! J’ai toujours présenté Stéphane Pinta comme mon associé. Il m’a semblé naturel, après dix-huit ans à mes côtés, où il a contribué à moderniser notre outil de travail tout en se faisant un nom dans l’expertise grâce à d’importantes découvertes, qu’il ait un rôle essentiel dans l’avenir du bureau en devenant directeur associé. Quant aux de Bayser, l’amitié très ancienne qui me lie à l’histoire de leur cabinet, à travers Bruno de Bayser, leur jeunesse, la proximité de nos bureaux, le partage de notre documentation sont des éléments essentiels à la réflexion que nous avons eue avec Stéphane et qui, tout naturellement, nous ont amenés à nous rapprocher d’eux. Il était indispensable de préserver notre indépendance, condition sine qua non de notre…
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