Avec des prêts prestigieux témoignant d’une multiplicité de sujets, l’exposition sur le premier mouvement d’avant-garde du XXe siècle s’avère ambitieuse, malgré un parti pris thématique contestable.
Après «Les années fauves» à la Fondation Gianadda , le Kunstmuseum de Bâle fait lui aussi sa rentrée en ouvrant sa «cage aux fauves». «Notre exposition se distingue par des pièces d’exception, provenant entre autres du Metropolitan et du MoMA de New York, de la Tate Modern de Londres ou encore de la National Gallery de Washington, explique Claudine Grammont, co-commissaire de l’événement avec Arthur Fink et Josef Helfenstein. À ces œuvres, dont certaines n’avaient pas été vues depuis des décennies en Suisse, s’ajoutent des photographies de la Fondation…
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