Trois tapisseries appartenant à la célèbre série des Portières des Dieux des Gobelins viennent de réapparaître. Un évènement se profile du côté de Bergerac...
Gobelins 1765-1767, atelier de Jacques Neilson, Cérès ou l’été, d’une série de trois tapisseries appartenant à la tenture des Nouvelles Portières des dieux, 364 x 270 cm. Bergerac, dimanche 9 décembre 2007. Me Biraben. M. Delarue. Adjugé 150 000 € frais compris
Gobelins 1765-1767, atelier de Jacques Neilson, Cérès ou l’été, d’une série de trois tapisseries appartenant à la tenture des Nouvelles Portières des dieux, 364 x 270 cm. Bergerac, dimanche 9 décembre 2007. Me Biraben. M. Delarue. Adjugé 150 000 € frais compris
La tapisserie, en France, est une affaire d’État : ainsi en a décidé le grand roi Louis XIV. Sur ses ordres, Colbert achète, le 6 juin 1662, l’hôtel des Gobelins, sis dans le faubourg Saint-Marcel. Le Roi-Soleil exige la création d’une manufacture royale pour parer les murs du Louvre et de Versailles de tapisseries plus grandioses encore que celles aperçues à Vaux-le-Vicomte, chez l’insolent Fouquet. Celui-ci avait établi un atelier à Maincy, près de…
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.