Médecin malgré lui par respect filial, Léopold Chauveau (1870-1940) appartient à cette génération de chirurgiens qui va avoir à réparer les corps et les gueules cassées des soldats de la Première Guerre mondiale. Il s’y consacrera corps et âme : meurtrières, les années de guerre lui ont enlevé son épouse, deux de ses fils et son père. Traumatisme sans doute déterminant pour celui qui, à 50 ans, s’autorise enfin à abandonner le scalpel et devenir pleinement…
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