Un objet fait pour le Louvre » : dans La Tribune de l’art, Alexandre Lafore résume le sentiment général à propos du camée que le musée se propose d’acheter, en faisant appel à la générosité publique. L’acquisition onéreuse de cette Vénus alanguie dans sa coquille prend sans doute plus de sens que le soutien aux arbres des...
Un objet fait pour le Louvre » : dans La Tribune de l’art , Alexandre Lafore résume le sentiment général à propos du camée que le musée se propose d’acheter, en faisant appel à la générosité publique. L’acquisition onéreuse de cette Vénus alanguie dans sa coquille prend sans doute plus de sens que le soutien aux arbres des Tuileries, pour lequel le Louvre avait aussi sollicité la bienveillance populaire. Ce joyau est le capuchon manquant d’une coupe, provenant de Louis XIV et de Mazarin, que le Louvre a pu préempter en 1968 à Drouot. Le couvercle était alors introuvable. L’objet est mentionné pour…
com.dsi.gazette.Article : 29708
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