L’arrangement conclu entre le conseil d’administration du musée des beaux-arts de Montréal et son ancienne directrice, Nathalie Bondil, clôt un chapitre dans lequel le grotesque l’a disputé au sordide. Son congédiement avait été un coup de tonnerre tant elle en était arrivée à personnifier un lieu en pleine expansion. «...
L’arrangement conclu entre le conseil d’administration du musée des beaux-arts de Montréal et son ancienne directrice, Nathalie Bondil, clôt un chapitre dans lequel le grotesque l’a disputé au sordide. Son congédiement avait été un coup de tonnerre tant elle en était arrivée à personnifier un lieu en pleine expansion. « Le musée des beaux-arts, “c’est” Nathalie Bondil », s’était exclamée Nathalie Roy, la ministre de la Culture du Québec, « estomaquée » par la brusquerie de son départ. En quatorze ans, le budget avait augmenté de 18 à 28 M€ ; le nombre de visiteurs a triplé, atteignant près de 1,2 …
com.dsi.gazette.Article : 31611
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