Le procès d’Emery Mwazulu Diyabanza, le 30 septembre prochain, s’annonce comme le dernier retournement de l’espérance suscitée par Emmanuel Macron en Afrique. Cet activiste congolais comparaît pour avoir, avec ses compagnons, emporté et endommagé un poteau funéraire du peuple bari au quai Branly, en signe de protestation...
Le procès d’Emery Mwazulu Diyabanza, le 30 septembre prochain, s’annonce comme le dernier retournement de l’espérance suscitée par Emmanuel Macron en Afrique. Cet activiste congolais comparaît pour avoir, avec ses compagnons, emporté et endommagé un poteau funéraire du peuple bari au quai Branly, en signe de protestation contre le refus de rapatrier le patrimoine de son continent. Il a récidivé depuis à Marseille et aux Pays-Bas. Nul doute que cette audience tourne à la performance. Celui que Le Monde appelle un « apôtre de la restitution directe » détient son quart d’heure de célébrité,…
com.dsi.gazette.Article : 17112
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