Passé la déception de ne pouvoir admirer plus de tableaux de Whistler, et que certaines de ses « Joconde » – dont Symphonie en blanc no 1 de la National Gallery de Washington – n’aient pas fait le déplacement, la présentation révèle toute sa richesse. Elle rappelle en préambule le caractère bien trempé de cet Américain,...
Passé la déception de ne pouvoir admirer plus de tableaux de Whistler, et que certaines de ses « Joconde » – dont Symphonie en blanc no 1 de la National Gallery de Washington – n’aient pas fait le déplacement, la présentation révèle toute sa richesse. Elle rappelle en préambule le caractère bien trempé de cet Américain, ami de Courbet,…
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