Alicia Penalba (1913-1982)

Repérée par Claude Bernard à la fin des années 1950, la sculptrice argentine est tombée dans l’oubli après sa disparition tragique en 1982. Portrait d’une femme de caractère, à l’occasion d’une exposition à la galerie Jean-Marc Lelouch, à Paris.

Née en Argentine, Alicia Penalba (1913-1982) s’installe à Paris en 1948 et se consacre entièrement à la sculpture. Elle suivra pendant trois ans les cours d’Ossip Zadkine à la Grande Chaumière avant de développer son propre vocabulaire, qui s’affirmera...

Ces publications, co-éditées avec FAGE, sont destinées à rendre accessible à un large public la recherche de jeunes historiennes et historiens en art moderne. A paraître le 3 février : Alicia Penalba de Victoria Giraudo, Louise Janin, l’art de l’entre-deux de Marion Sergent et Primitifs modernes ? de Marion Alluchon.

Écrin et vitrine pour les artistes, son campus de Fontainebleau a accueilli de grands noms, comme le couple Lalanne.

Deux bronzes (fontes Susse) d’Alicia Penalba (1913-1982) prennent le chemin des enchères  mercredi 22, salle 16 à Drouot chez Art-Valorem (MM. Maket). Grand duo, d’abord, une sculpture monumentale (103 x 170 x 135 cm) bipartite à patine brune à l’intérieur,...

Trois œuvres monumentales de Claude et François-Xavier Lalanne vont défrayer la chronique. Leur provenance ? Le parc du Centre européen d’éducation permanente à Fontainebleau.

À l’occasion du Parcours de la céramique qui réunit dix-neuf galeries parisiennes, le marchand nous donne un aperçu du marché de ce médium, qui est longtemps resté le parent pauvre de l’art contemporain.

L’artiste d’origine asiatique continue à tutoyer les sommets. Ses scènes d’intérieur, où des jeunes femmes mènent leur vie silencieuse, rencontrent toujours le succès, à l’exemple de ce diptyque à Toulouse.

À Rodez, une exposition rend hommage aux femmes artistes de la scène abstraite des années 1950. Une inégale mais nécessaire mise au point.

Pour sa 8e édition, le salon genevois des pierres précieuses s’étoffe encore avec 239 exposants, contre 210 au printemps dernier, et met l’accent sur les mystérieuses opales.