Jane Graverol (1905-1984)

Jane Graverol, André Masson, Victor Brauner ou Zdzisław Beksiński… Autant de noms convoqués par Bonhams Cornette de Saint Cyr dans une vente hommage au surréalisme, emmenée par Yves Tanguy.

Elles étaient peu nombreuses dans cette vacation dédiée à ce courant majeur du XXe siècle, mais les femmes ont su tirer leur épingle du jeu, Jane Graverol et Léonor Fini en tête.

Très recherché en Pologne, l’enfant du pays recevait le résultat le plus élevé dans la vente commémorant, chez Bonhams Cornette de Saint Cyr à Paris, les 100 ans du mouvement surréaliste.

C’est entre 800 et 1 200 € qu’est attendu ce portrait au pastel de La Vicomtesse de Coëhorn (133 x 85 cm) par Jane de Montchenu-Lavirotte (1857-1924), épouse de l’architecte Jules Lavirotte. Il s’inscrit dans la dispersion par la maison Daguerre, vendredi...

À Manhattan, elle transforme la galerie St. Etienne en fondation

Tony Franck a ici immortalisé la Melody Nelson de Gainsbourg, incarnée par Jane Birkin.

Cette lithographie de 1899 est l’avant-dernière affiche d’Henri de Toulouse-Lautrec. Réalisée deux ans avant sa mort, elle témoigne de l’amitié qui lie le peintre à la meneuse de revue Jane Avril.

Le surréalisme en Belgique ne s’est pas éteint avec la mort de René Magritte. Cent ans après la publication du manifeste, le Palais des beaux-artset les Musées royaux des beaux-arts de Bruxelles lui rendent hommage.

C’est un nouveau chapitre que Jane Kallir a ouvert au numéro 24 de la 57e rue, à New York. La galerie St. Etienne a laissé sa place au Kallir Research Institute.

C’est un nouveau chapitre qui s'ouvre, au numéro 24 de la 57e rue, pour la galerie St. Etienne, qui a laissé sa place au Kallir Research Institute. Déplacée de Vienne à New York en 1939, et dirigée par Jane Kallir depuis 1979, l'enseigne était un haut lieu de l’expressionnisme autrichien et allemand.