[BRUYSSET DE MANEVIEUX]. LE PORTE-FEUILLE LYONNOIS ou bigarrures provinciales, trouvées par un Q......, ni cuirassé, ni mitré, mais botté. Minorque (Lyon), aux dépens du gouvernement, 1779-80. 2 numéros de 6-208-[2] et 6-147-[1] pages, basane racinée, dos lisse orné (reliure de l'époque). Les 2 seuls numéros parus. A l'instar d'un journal, l'auteur raconte les faits divers et anecdotes lyonnaises : Choix d'un emplacement pour un cimetière, observations sur le canal de Givors, sur les suicides, l'assassinat d'un colporteur, un mémoire sur la conservation des enfants,... Charnières intérieures consolidées, cernes en fin de volume. (Barbier II, 956).
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