L.S., Paris 30 novembre 1833, à Mme Jacques REISET, au château de Balincourt près Rouen ; 1 page in-4°, adresse. Condoléances lors de la mort accidentelle de sa fille Colette, baronne de Beurnonville (22 octobre 1833) : « Je n'aurois pas osé dans le premier moment mêler à votre douleur ma voix étrangère. Les prières de Made de Chateaubriand qui est une sainte, valent mieux que toutes les consolations que je pourrois vous offrir »...
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