MOTO GUZZI CONDOR 500 (RÉPLIQUE)
La moto de course... Lot 24
résultat :
Non Communiqué
Estimation :
Réservé aux abonnés
MOTO GUZZI CONDOR 500 (RÉPLIQUE)
La moto de course monocylindre
Voiture de sport des années 1930
Réplique réalisée avec des pièces d'origine
Participation aux courses et révocations historiques
Sans documents
Produite par Moto Guzzi dans les années précédant immédiatement la Seconde Guerre mondiale, la Moto Guzzi Condor a été l'une des protagonistes des compétitions de l'époque. Agile et légère, elle était bien adaptée aux parcours mixtes et son coût abordable pour l'époque la rendait attrayante pour les pilotes privés. Souvent en lutte avec la Gilera, son ennemie de toujours, elle a remporté de nombreux succès dans les compétitions les plus célèbres de l'époque. La Seconde Guerre mondiale a malheureusement mis fin à cet âge d'or rugissant.
Le modèle proposé aux enchères est un Phénix qui renaît de ses cendres. Il est le résultat d'une reconstruction, obtenue grâce à la volonté et à la passion du coureur romain Gino Passamonti, de deux exemplaires abandonnés après la guerre et achetés par lui dans l'un des nombreux camps d'accueil des restes de l'ARAR après la guerre.
MOTO GUZZI CONDOR 500 (RÉPLIQUE)
Moto sportive des années 30
Réplique obtenue avec des pièces d'origine
Participation à des compétitions et à des reconstitutions historiques
Sans documents
Produite par Moto Guzzi dans les années précédant immédiatement la Seconde Guerre mondiale, la Moto Guzzi Condor a été l'une des protagonistes des compétitions de l'époque. Agile et léger, il est bien adapté aux itinéraires mixtes, son coût abordable pour l'époque l'a rendu attractif pour les pilotes privés.
Souvent aux prises avec les Gilera, leurs éternels ennemis, ils remportent de nombreux succès dans les compétitions les plus célèbres de l'époque. La Seconde Guerre mondiale met malheureusement un terme à cette période faste et dorée.
Le modèle proposé aux enchères est un phénix qui renaît de ses cendres. Il est le fruit d'une reconstruction, obtenue grâce à la volonté et à la passion du coureur romain Gino Passamonti, de deux spécimens abandonnés après la guerre et achetés par lui dans l'un des nombreux camps de résidus de l'ARAR après la guerre.
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