Jean-Baptiste CORNEILLE (1649-1695).
Proteus et Ménélas.
Plume, encre brune, traits de sanguine, lavis brun.
24,5 × 18,2 cm.
Bibliographie :
Yves Picart, La Vie et l'Oeuvre de Jean-Baptiste Corneille (1649-1695), ed. CdP, Lyon, 1987, p.124, repr. p.125).
Cette scène violente peut être interprétée comme la tentative de Ménélas d'obtenir de Protée la vérité sur le rapt d'Hélène. Pour tirer l'oracle de la bouche du fils de Poseïdon, il fallait l'enchaîner par surprise et user de violence à son égard (opus cité supra, p.124).
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