JOSEF LÖWY (1834–1902) Lot n° 1

JOSEF LÖWY (1834-1902) | La 'Maison des éléphants' avant sa démolition, Vienne 1865 Taille de l'image : 18,3 x 25,2 cm En anglais : Albumen print 21,4 x 26,3 cm, flush-mounted on original card 30,5 x 41 cm, in very good condition. Annotations dans la marge négative "Vue des maisons démolies n° 7 Schlossergasse et n° 21 Graben" dans la marge supérieure, "Schlossergassel (...) Trattnerhof / Graben / Grabengasse (...)" dans la marge inférieure ; cachet du photographe "J. Löwy k.k. Hof-Photoraph WIEN', étiquette avec écriture manuscrite "C26." et numérotation au crayon "M-No.314" sur le carton. PROVENANCE Collection Dr Christian Brandstätter, Vienne. Vue du Graben dans le centre-ville de Vienne vers l'est, où jusqu'en 1866 un groupe de maisons au niveau de la Dorotheergasse formait une fermeture vers Stock-im-Eisenplatz. La "maison de l'éléphant" à deux étages porte l'inscription de la pharmacie "Zur goldenen Krone" ainsi que "Caffeehaus und Restauration". Elle porte le nom d'un relief qui n'existait déjà plus à l'époque de la photographie, commémorant le premier éléphant jamais vu à Vienne, que Maximilien II avait amené dans son cortege en 1552, en passant probablement par la Grabengasse. En allemand : Tirage à l'albumine 21,4 x 26,3 cm, contrecollé sur carton original 30,5 x 41 cm, en très bon état. Inscriptions "Ansicht der demolirten Häuser Nr. 7 Schlossergasse u. Nr. 21 Graben" dans la marge supérieure, "Schlossergassel (...) Trattnerhof / Graben / Grabengasse (...) "dans la marge inférieure ; cachet du photographe "J. Löwy k.k. Hof-Photoraph WIEN" et étiquette avec "C26." ainsi que numérotation manuscrite "M-No.314" sur le carton. PROVENIENCE Collection Dr. Christian Brandstätter, Vienne. Vue sur le Graben dans le centre-ville de Vienne vers l'est, où jusqu'en 1866 un groupe de maisons à hauteur de la Dorotheergasse formait une fermeture vers la Stock-im-Eisenplatz. La "maison de l'éléphant" à deux pignons porte l'inscription de la pharmacie "Zur goldenen Krone" ainsi que "Caffeehaus und Restauration". Elle doit son nom à un relief qui n'existait déjà plus au moment de la prise de vue et qui rappelait le premier éléphant jamais vu à Vienne, que Maximilien II avait emmené dans son cortège en 1552, en passant soi-disant par la Grabengasse.