Claude MONET. L.A.S., Giverny 2 août 1925, à Charlotte Lysès; 2 pages in-8 à son adresse, encre bleue (petite fente réparée).
Il est désolé de la savoir malade et de ne pas la voir. «Mais comme vous le savez j’ai enfin retrouvé ma sacrée vue et repris le travail sur nature, ce qui m’est une joie sans pareille. Malheureusement je suis à la merci du temps qui n’est guère beau, et ne puis quitter un seul moment mon travail dans le seul espoir désiré. Il va s’en dire qu’un jour de mauvais temps nous irons vous surprendre, ne fut-ce qu’un instant»…
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