Gustave FLAUBERT (1821-1880). L.A.S., Croisset mercredi [vers 1866?], à son ami Eugène Bataille; demi-page in-8.
«Tant pis, cher ami! Mais ce voyage du Havre ne peut pas durer jusqu’à la fin de 7bre? Dès que tu seras revenu envoie-moi un petit mot. Tous mes respects à Me Bataille & une bonne poignée de main»…
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.