[Gustave FLAUBERT (1821-1880)].
2 L.A.S. de sa nièce Caroline Franklin-Grout (1846-1931), 16 novembre et 14 décembre 1900, à Paul Esdouhard d’Anisy au château de Puligny ; 7 pages in-12, enveloppe.
Au sujet d’un drame en dix tableaux tiré de Salammbô. 16 novembre. Elle n’a jamais songé à Salammbô sous la forme d’un drame et demande à réfléchir pour l’autoriser… 14 décembre. Bien qu’elle reconnaisse les qualités de ce travail et de la pièce, elle refuse son autorisation : « une représentation sur la scène de l’Odéon m’apparaît comme un rapetissement du roman – c’est forcé – cela aura un faux air de tragédie antique, et puis où sont les acteurs pour la jouer ! […] il faudrait un luxe très grand de décors, des interprètes de premier ordre, […] l’Opéra a réussi, mon oncle l’avait désiré. Il faut s’en tenir là »…
On joint une L.A.S. au même d’Ernest Depré (1897) et une L.S. d’André Gavoty (1941).
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