André Gide.
L.A.S., 3 mai 1933, à un directeur de théâtre ; 1 page in-4.
Il accorde « l’autorisation que vous me demandez, de porter mon Enfant Prodigue sur la scène. Mais de quelle scène s’agit-il ici ? Et de quels acteurs ? Et de quel public ?... Je crains que votre zèle ne vous entraîne à une tentative bien imprudente, dont vous risquez de vous repentir et qui ne tourne à l’encontre de ce que vous pouvez souhaiter, indisposant une assistance à la fois contre vous et contre moi. Cet Enfant Prodigue peut être un effroyable coup de barbe, si pas excellemment présenté et joué »...
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