Auguste RODIN. L.A.S., 5 novembre 1906, à Madame Lucie Faure-Goyau ; 1 page petit in-8.
Il recommande Mlle Judith Cladel pour le prix de la Vie heureuse [le prix de la revue La Vie heureuse, ancêtre du Prix Femina] : « Je vous prie de m’excuser de mon indiscrétion, mais je vous sais bienveillante à l’artiste qui vous écrit profondément dévoué »…
[Judith Cladel femme de lettres et romancière, fut la collaboratrice de Rodin ; elle lui consacra deux ouvrages : A. Rodin l’homme et l’œuvre (1908), et Rodin, sa vie glorieuse, sa vie inconnue (1936).]
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