Alfred Smith (1854-1936)

Au cœur de cette vente dédiée aux peintres bordelais, Alfred Smith se distinguera avec une œuvre de début de carrière, décrivant le quai de la Bourse sous une brume vaporeuse.

La 7e édition d’une vacation placée sous le signe de la capitale girondine, et plus largement de la région Aquitaine, a rendu hommage à Charles Lacoste.

Les œuvres du peintre américain, décédé en 1999, sont hantées de personnages désœuvrés qui tuent le temps avec des jeux improvisés. 

Visions de la ville festive ou laborieuse, ces peintures fin de siècle se sont taillé la part du lion, tandis qu’un ours de Guyot séduisait les amoureux de la sculpture animalière. 

Parmi les petits maîtres bretons, c'est la carte d'Alfred Marzin qui était tirée aux enchères ! 

La sensualité de cette sculpture ne laissait pas de marbre, et lui valait un résultat à six chiffres, quand la vaste toile à fond d’or de Georges Mathieu dépassait allègrement le million d’euros.

Le bâtiment de Nogent-sur-Marne, désormais dans le giron de la Fondation des Artistes, a été édifié en 1913 et 1917 par les sœurs Smith, pour abriter les collections de leur oncle bibliophile, Auguste Lesouëf – ensuite léguées à la BnF. Attribué pour 5 ans renouvelable, le label compte plus de 200 lieux.

Le dernier lot de la vente Aristophil programmée à Neuilly le lundi 14 juin (Aguttes OVV, M. Jacquart), et consacrée à l’histoire postale de la Guerre de 1870, évoquera Alfred Dreyfus sous un jour inattendu : la philatélie. Dans deux volumes Yvert & Tellier...

Produite entre 1879 et 1887 par Smith & Wesson, cette étonnante arme combine les caractéristiques d’une carabine et d’un revolver.

Ses montres battent des records aux enchères : il n’en produit que dix-huit exemplaires par an. Dans son atelier de l’île de Man, il nous raconte sa fabuleuse histoire et celle d’une production unique en son genre, le graal pour tout collectionneur toqué du tic-tac.