Cet amas écrasé de peinture râpeuse n’est plus qu’une vague évocation d’un corps tuméfié. Ses contours déchirés suivent ceux d’une silhouette démembrée. La forme humaine n’est plus qu’un fantasme lointain dans cette Sarah que Jean Fautrier peint, enragé, en 1943. À l’image de l’aigle noir menaçant de Jean-Michel Atlan (1945),...
Cet amas écrasé de peinture râpeuse n’est plus qu’une vague évocation d’un corps tuméfié. Ses contours déchirés suivent ceux d’une silhouette démembrée. La forme humaine n’est plus qu’un fantasme lointain dans cette Sarah que Jean Fautrier peint, enragé, en 1943. À l’image de l’aigle noir menaçant de Jean-Michel Atlan…
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