Ventes à venir

On ne manquera pas ici, réalisé au début du XVI e siècle, un livre d'heures à l'usage de Paris composé de 130 feuillets et orné de 17 grandes peintures illustrant l'Ancien Testament et la Passion du Christ, avec enluminures et lettrine historiée. 20 000/30 000 € devront être déboursés pour ce travail d'un atelier parisien, témoin des dernières productions manuscrites enluminées. D'un piano noir Yamaha (8 000/10 000 €) à une Traction de Citroën (2 000/2 500 €), une grande variété sera proposée. Les amateurs de l'époque art déco se tourneront vers une boîte de Georges Bastard en loupe de tuya et nacre, à décor de fleurs stylisées (1 800/2 000 €), et ceux du maître de de l'outrenoir Pierre Soulages vers une Composition abstraite en lithographie (3 000/4 000 €). Articles avant-vente

Seront dispersés ce jour les trésors de la galerie Berger, dirigée par une dynastie de collectionneurs. À commencer à 10 h par d'importants stocks d'éléments mobiliers et matériaux, par exemple un lot d'environ quarante et un dessus de marbre, certains d'époque (2 000/3 000 €). L'après-midi sera consacré aux lots « premium », où se détachera une commode de forme mouvementée en placage d'amarante, de l'époque Régence et attribuée à Étienne Doirat : compter 15 000/25 000 €. À 15 000/20 000 € tintera un remarquable cartel d'applique à carillon en placage de corne verte et bronze doré d'époque Louis XV, avec garniture d'esprit rocaille, estampillé Joseph de Saint-Germain. Pour 10 000/15 000 € changera de mur une riche console parisienne d'applique « aux femmes ailées » de forme mouvementée, en bois sculptédoré et à dessus de marbre, des années 1725-30. Pour un tarif similaire, on pourra lui préférer une toile de Christian-Adolf Schreyer, montrant un Chef arabe et son escorte à cheval (vers 1870). Articles avant-vente

Représentant une Étude d'écorché pour un nautonier, vue de face le corps penché vers la gauche, un dessin de Théodore Géricault affiche la prestigieuse provenance de la collection du général Louis Bro, ami proche du peintre de 1816 à sa mort. Restée dans sa descendance, l'œuvre nécessitera 30 000/40 000 €. On trouvera dans ce programme généraliste d'autres lots dignes d'intérêt, à l'image d'une toile de Claude Venard, Toits de Paris, vue sur le Sacré-Cœur de Montmartre (8 000/10 000 €), ou d'un rare déjeuner en porcelaine exécuté par la Real Fabbrica Fernandea de Naples vers 1790, dans son coffret d'origine en cuir doré. Son décor, représentant Apollon sur son char tiré par des chevaux et accompagné de muses, s'inspire de la fresque Aurore et Apollon de Guido Reni du palais romain de Pallavicini Rospigliosi. 5 000/10 000 € sont annoncé pour cet ensemble qui aurait été envoyé par Marie-Caroline (reine de Naples) à Madame Victoire (fille de Louis XV), puis offert par celle-ci à Madame Victoire de Donnissan. Enfin, provenant de l'ancienne collection du galeriste Bruno Bassano, un ensemble d'œuvres du peintre turc Fikret Moualla sera proposé, dont l a gouache Femme à la robe bleue et enfant , de 1954 (15 000/20 000 €). Articles avant-vente

En cimaise, se côtoieront entre autres, une Vierge allaitant l'Enfant Jésus, entourés de saint Jean Baptiste et d'une sainte de l'école italienne de la fin du XIV e ou du début du XV e , suiveur d'Agnolo Gaddi ou de Mariotto di Nardi (30 000/50 000 €), un panneau au monogramme d'Arent Cabel (1585/1586-vers 1635) à sujet de Pêcheurs relevant leurs filets (40 000/60 000 €), un Portrait d'homme d'Alexandre Roslin daté 1754 (8 000/12 000 €), celui d'Anne-Claudine Mayneaud de la Tour, au pastel par Jean Valade (25 000/30 000 €). Des vitrines sortiront des objets de Chine et du Japon, des faïences de Rouen, des appliques, des candélabres et des pendules en bronze, une boîte à jeu de quadrille XVIII e (200/300 €), etc. Une grande console d'applique italienne en bois doré richement sculpté (première moitié du XVIII e ) est espérée à 8 000/12 000 €, une suite de quinze chaises de salle à manger Louis XV en hêtre mouluré relaqué gris, attribuée à Jean Baptise Boulard, s’élèvera à 10 000/15 000 €. Articles avant-vente

Plusieurs grands noms des maîtres de l'abstraction sont annoncés parmi lesquels Olivier Debré ( Figure vert jaune , 1958, 50 000/60 000 €), Gérard Schneider, Jean Miotte ( Exubérance , 1959, 10 000/15 000 €) ou Geneviève Claisse (toile non titrée de 1967, 12 000/15 000 €). On poursuit avec un ensemble d'encres sur papier de Wifredo Lam provenant du Carnet de Marseille de 1941 (2 000 à 5 000 €), une gouache d'Alexander Calder de 1962, Pink Circle with Blue (40 000/50 000 €), des Gouttes d'eau, 1974 de Kim Tschang-Yeul (50 000/70 000 €), des acryliques d'Hervé di Rosa ( Assis dans l'eau, 2019 , 12 000/15 000 €) ; sans omettre Robert Combas ( Au loin l'usine de la Cofaz, 1984 , 50 000/80 000 €) et un émail sur aluminium (non titré, S-Man ) de Keith Haring, daté 1987 (1/10, 40 000/60 000 €). Articles avant-vente

Le XX e siècle prend le relais des arts premiers à 14 h, introduit par douze tableaux d’un couple de collectionneurs, dont l’œuvre phare sera Bi-Syrom , un acrylique en noir et blanc peint par Victor Vasarely en 1956-1976 (80 000/120 000 €). Valentine Schlegel sera évoquée par plus d’une cinquantaine de lots, suivie par Charlotte Perriand et son mobilier pour les Arcs 1800 (entre 300 et 5 000 €). Le groupe Xylos sera représenté par plusieurs lots, comme sa "Pierre de lune" de 2010, désignant un bar à champagne inscrit dans une boule en fibre de carbone ayant l’aspect de la pierre de lave polie (30 000/40 000 €). Plaqué d’ébène de Macassar, de loupe de noyer, et marqueté de losanges d’ivoire par Ruhlmann, un piano Pleyel quart de queue se fera entendre autour de 90 000 €. Articles avant-vente

Figure emblématique du monde de l'art, personnage aux multiples facettes, tour à tour brocanteur, photographe de presse, de nus et d'artistes célèbres tels que Pablo Picasso, Joan Miró et Alexander Calder, Jean Ferrero fut collectionneur d'art moderne, d'art africain et d'art populaire, et marchand de l'école de Nice et des nouveaux réalistes. Il ouvre sa première galerie à Nice en 1970, dans un grand appartement sur le port, puis rue de France et enfin rue du Congrès. En 2015, il fait don de 853 œuvres de sa collection à la ville. Aujourd'hui, il se sépare d'autres pièces de sa collection (voir Gazette n° 24, page 12). Au menu, des œuvres d’Arman, César, Ben, Martial Raysse, Bernar Venet, Claude Gilli, Jean-Claude Farhi et Yves Klein, mais aussi des statuettes africaines (300 à 3 000 €). Clin d'œil de l'artiste à son marchand, une inclusion dans une boîte en Plexiglas de pièces d'un accordéon d'Arman, titrée L'Accordéon du père Ferrero ou Colère d'accordéon (vers 1987-1988), est espérée à 20 000/30 000 €. Articles avant-vente

Figure majeure de la Sécession munichoise, Franz von Stuck a représenté à plusieurs reprises sa fille Mary Franziska Anna. La voici dans un portrait à la mine de plomb, à l'aquarelle et au pastel, vers 1905, pour lequel 4 000/6 000 € sont avancés. De la même collection proviennent deux toiles de l'artiste originaire de San Francisco installé à Paris où il fut l'élève de Jean-Léon Gérôme aux Beaux-Arts, Edward Cucuel (1875-1954), Élégantes dans une barque et Près des aubépines . De ces œuvres marquées par l'impressionnisme, comptez respectivement 12 000/15 000 € et 15 000/20 000 €. De Moïse Kisling, une vue du Port de Honfleur de 1932 est annoncée à 30 000/50 000 €, de Bernard Buffet des fusains acquis par un collectionneur auprès de l'artiste et conservés dans sa succession sont attendus entre 4 000 et 12 000 €. Neuf, c'est le nombre des muses de la mythologie grecque, et celles que sculpte Joseph Csaky. 3 000/4 000 € sont attendus de chacune de ces figures féminines en plâtre (d'atelier). Artisan d'art originaire de Liège, Georges Rideaux (1872-1939) installe son atelier place Saint-Michel dans les années 1920 et se rend fréquemment à Paris où il puise son inspiration dans le mobilier français du XVIII e et parfois chez ses contemporains, parmi lesquels Ruhlmann. Cinq meubles sont présentés dont un secrétaire à abattant en placage de ronce de noyer et ivoire, estimé 4 500/5 000 €. Un vase en dinanderie de maillechort à décor émaillé rouge, noir et argent de Jean Dunand (8 000/10 000 €) complète la sélection. Articles avant-vente

Considéré comme le continuateur de l'œuvre de Brancusi – Roumain comme lui –, Remus Botar Botarro sera présent avec une sculpture en bronze patiné, doré et poli dont le titre, L'Esprit du rêve, évoque son travail donnant naissance à des formes abstraites inspirées de l'onirisme et du surnaturel. Compter 30 000/35 000 €. Nancy oblige, l'art nouveau sera très présent, avec notamment un cabinet de travail de Jules Cayette, en acajou et incrustations de nacre (8 000/10 000 €), et un mobilier de salon de Majorelle en noyer à décor sculpté d'ombelles, comprenant un canapé, un fauteuil et une chaise (3 000/5 000 €). Une carafe à décanter en cristal de Daum et au bouchon en bronze ciselé et doré de François-Xavier Lalanne, représentant un mouton debout, se négociera à 5 000/7 000 €. Articles avant-vente

Si le travail d'Eva Jospin est largement reconnu et exposé en galeries et musées en France et à l'étranger, rares sont ses œuvres sous le marteau. L'une de ses Forêt de carton prend le chemin des enchères, estimée 12 000/15 000 €. Une place de choix est réservée ensuite à Georges Rouault dont une douzaine d'œuvres du début du XX e siècle aux années 1950, de provenance familiale, sont présentées. Henri Martin nous emmène devant un Paysage du Lot (1920, 60 000/80 000 €). Signalons enfin un service à thé (une quarantaine de pièces), en porcelaine, métal doré et anses en ivoire de Jean Luce, Christofle et la maison Saglier (1 500/2 000 €), une boîte en argent dorée d'un motif géométrique en émail de Jean Goulden (20 000/30 000 €), une autre en bronze chromé argent (modèle n° 4238R), les côtés à motifs de cannelures de Jacques-Émile Ruhlmann (35 000/40 000 €), un meuble à hauteur d'appui en poirier teinté à deux portes gainées de galuchat de Jean-Michel Frank, estampillé du monogramme Chanaux et Pelletier , conservé de longue date dans une collection particulière (60 000/80 000 €). Articles avant-vente

Si les bijoux (200 à 5 000 €), puis les objets de décoration sont nombreux qui ponctuent la seconde partie d'après-midi, on a retenu également une toile de Jean Fautrier vers 1925, La Bretonne et une Vierge à l'Enfant à fond or datée 1918, signée Léonard Tsuguharu Foujita. La première est estimée 30 000/40 000 €, la seconde 80 000/100 000 €. Articles avant-vente

La veine réaliste de la fin du XIX e siècle sera évoquée au travers d'une toile signée Albert Aublet, figurant une Marchande de poissons . Prévoir 10 000/15 000 € pour son acquisition. La peinture moderne sera ensuite illustrée par Les Tulipes de Jacqueline Marval, dont on attend 2 000/3 000 €. Acquis en 1967 auprès de la galerie Jean-Claude Bellier, un tableau d'André Marchand, Taureaux traversant le Rhône (Delta) , pourrait ensuite être disputé à 3 000/4 000 €. Concluons sur la sculpture avec un grand sujet en bronze de Paul Beckrich, Le Dressage du faucon , à envisager à 3 000/5 000 €. Articles avant-vente

Seuls une vingtaine d'exemples de la BSH, voiture créée en 1970 par Benais et Saint Hilaire, subsistent à ce jour : les autres furent soit inachevées – étant alors vendues en kit –, soit détruites en course. D'où l'intérêt de celle présentée lors de cette vente, accompagnée d'une estimation de 45 000/60 000 €. Le reste du programme sera éclectique et accessible, à l'image des 1 500/2 000 € demandés pour une Nature morte aux poissons, d'Antoine Vollon, et les 3 000/3 200 € attendus d'une bague cocktail en or jaune, ornée de rubis de taille ovale de 5 ct agrémentés de diamants de taille moderne. Plusieurs juke-box composeront la bande-son, dont un Wurlitzer 1500 de 1952, à actionner pour 6 000/8 000 €. Articles avant-vente

Cette « Garden Party » à Saint-Tropez débutera par des lots d'automobilia, dont le casque original Schuberth QF1 de la saison 2003 porté par Rubens Barrichello. Provenant d'une collection particulière, il est attendu à 5 000/8 000 €. S'avanceront ensuite des voitures de collection et de sport : on y remarquera aussi bien une Lotus Formule 1 Monoplace d'exposition de 2011, cotée 20 000/40 000 €, qu'une Citroën 2CV6 Spécial de 1989 – dans la même famille depuis trente-deux ans et dans un très bon état –, à se disputer à 15 000/25 000 €. On montera bien plus haut pour des voitures anciennes mythiques, comme une Lancia B24S Spider America de 1955 avec son hard-top, annoncée à 770 000/970 000 €, ou une Alfa Romeo Giulia TZ de 1965, à 700 000/1 000 000 € (voir Gazette n° 25, page 161). De la marque allemande Mercedes-Benz, une 300 SL Roadster de 1958 pourrait quant à elle atteindre les 800 000/1 100 000 €. Ferrari et Porsche ne manqueront pas non plus ce rendez-vous : on comptera 800 000/1 000 000 € pour une 599 GTO de 2010, de la marque au cheval cabré, et 1 250 000/1 500 000 € pour une 918 Spyder de 2015 de la firme allemande. Articles avant-vente

En tête d'affiche, la peinture moderne… Plusieurs paysages signés de grands noms du XX e siècle se distingueront. Une toile de Moïse Kisling, Tartane à Saint-Tropez, est ainsi annoncée à 40 000/60 000 € (voir Gazette n° 25, page 166) et l'une de Maurice de Vlaminck, Usine au bord de l'eau, datée de 1920-1922 – provenant de la galerie Bernheim et de l'ancienne collection Aimé Hamant –, à 25 000/30 000 €. Peinte quant à elle vers 1930 par André Lhote, la vue d'un Village dans la Drôme se négociera à 3 000/4 000 €. Alentour se déploiera une tapisserie en laine et soie de la manufacture royale de Beauvais. À décor de paon, de renard et de deux coqs de bruyère dans un paysage arboré, cette pièce tissée d'après un carton de Philippe Béhagle (1641-1705) pourrait nécessiter 7 000/10 000 €. Articles avant-vente

On commencera ce programme à l'éclectisme de bon aloi par des montres de prix provenant de la collection de M. S. La plus convoitée pourrait être une Patek Philippe « Nautilus » des environs de 2013, à boîtier et bracelet en acier, à porter contre 30 000/50 000 €. De la même période et pour une estimation similaire sera proposée une autre Patek Philippe, la référence 5170, en or blanc et à boîtier rond, équipée d'un calibre maison qui compile six innovations techniques. Pour 15 000/25 000 € se détachera aussi une Panerai Luminor Tourbillon GMT « Lo Scienziato », édition limitée de 2010. Scintillera par ailleurs une bague en platine centrée d'un diamant rond brillant de 4,58 ct monté en serti griffes à 20 000/30 000 €. Du côté des arts premiers, un masque en bois des Bamilékés du Cameroun (dit « tsema'bu ») pourrait accepter une offrande similaire. La peinture ne sera pas en reste avec une belle toile de l'école française issue d'un atelier des Beaubrun vers 1650 : le Portrait de Marie-Louise d'Orléans (1662-1689) , à admirer pour 15 000/20 000 € (voir Gazette n° 25, page 158). Articles avant-vente

Le château de Quintin, dans les Côtes-d'Armor, sera le cadre d'une vente de prestige marquée par la présence d'un objet historique : la pendule dite « Le télégraphe d'amour »,  au superbe décor figurant la version miniature du télégraphe aérien de Claude Chappe (inventé en 1794), signée de l'horloger du roi Lepaute et destinée probablement à l'origine au palais de Rambouillet pour la chambre à coucher du Roi de Rome (voir Gazette n° 24, page 25). 60 000/80 000 € sont annoncés à son endroit. On restera dans le domaine horloger avec plusieurs montres-bracelets, dont une Patek Philippe datée vers 1980, à envisager à 8 000/10 000 €. À même hauteur vous attend un recueil unique composé de manuscrits d'artistes régionaux de la Belle Époque, titré Les Poètes de Bretagne à Louis Tiercelin , et offert en 1912 à ce dernier dans sa villa de Kerazur. On restera en Bretagne avec une rare sculpture en marbre de Francis Renaud, Vonnick , à envisager à 6 000/8 000 € (voir Gazette n° 25, page 158). On conclura avec deux anneaux de fidélité en or formant paire, datés de 1815 et acquis à la cause royale, lesquels furent donnés au vicomte d'Hardouineau : compter 7 500/8 500 €. Articles avant-vente

Un homme en chapeau melon et une serveuse en tablier blanc occupent le premier plan d’une scène de café populaire due à Kurt Peiser (10 000/15 000 €), alors qu’une caille, posant au pied d’une fleur largement épanouie, sera mise en avant sur le lumineux fond laqué d’un paravent de Jean Dunand (6 000/8 000 €). Un coffret à secrets, dit « de Malines », fabriqué dans les Flandres et daté 1665, est orné sur toutes ses faces d’un décor architecturé sculpté dans l’albâtre, se détachant sur une âme de bois noirci (2 500/3 000 €). En acier noir, cadran à fond noir, et bracelet noir surpiqué rouge, limitée à 30 exemplaires, une montre BRM et Solex, par l’horloger Jean-Paul Crabbe, sortira de son écrin autour de 6 500 €. Articles avant-vente

La session dominicale laissera admirer aux cimaises un vaste panorama sur la Promenade sur la plage, les environs de Toulon , peint par Vincent Courdouan. Daté de 1878, il est attendu à 10 000/15 000 € (voir Gazette n° 25, page 170). À ses côtés vous attendent Le Vendeur d'œufs d'Ammar Farhat en 1942 (6 000/8 000 €), La Discussion féminine dans le parc, d'Adolphe Monticelli (5 000/6 000 €), sans oublier une œuvre de l'orientaliste Maurice Bouviolle, Les Bergers, dont on attend 4 000/5 000 €. Outre un sac Kelly d'Hermès (6 000/7 000 €), nous remarquerons encore un beau samovar perse (probablement d'Ispahan) daté 1920-1940, gravé et ciselé de fleurs, rinceaux persans et personnages qâjârs, complet de son plateau polylobé, de son bol et de sa théière couverte ornés en suite (4 000/6 000 €). Articles avant-vente