Après les souvenirs historiques (lundi 1 er juillet), place aux objets de vitrine, argenterie, émaux, bronzes, porcelaines, tableaux, meubles, icônes, livres et militaria russes. Une coupelle vide-poche sculptée dans un bloc de bowenite montée en vermeil, la prise ornée d'une pièce de monnaie au profil de Catherine II au poinçon de Karl Fabergé (Moscou avant 1899), est annoncée à 10 000/12 000 €, une icône triptyque de voyage représentant la Sainte-Face encadrée de la Mère et de Dieu et de saint Jean-Baptiste (Konoff, Moscou, 1908-1917) à 4 000/6 000 €, un gobelet en vermeil orné d'émaux plique à jour, cadeau du grand-duc Nicolas Nicoïalevitch au général de Lastours en 1912 entre 15 000 et 20 000 €. Une broche pendentif en forme de flocon de neige ornée de diamants, de la maison Lorie (Moscou, début XX e ) est estimée 10 000/12 000 €, tout comme une Nature morte au samovar d'Alexandre Golovine. Côté tableaux toujours, on pourra hésiter entre la vue d'une Rue à Boulogne de Constantin Korovine (17 000/20 000 €), un Autoportrait d'Ilia Répine au lavis et à la mine de plomb daté 1878 (20 000/30 000 €), une aquarelle de l'artiste symboliste Nicolas Roerich, Terre slave (18 000/20 000 €), une aquarelle haute en couleur de Dimitri Stelletsky, L'Armée aux drapeaux déployés , présentée lors d'une exposition collective au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles en 1928 (20 000/30 000 €), un Paysage de campagne en automne à la gouache et à la mine de plomb de Constantin Somoff, témoignage de son séjour en Normandie en 1929 (8 000/10 000 €).
Articles avant-vente
Une coupe moscovite offerte par le grand-duc Nicolas Nicolaïevitch au général Dor de Lastours
Cette objet en vermeil émaillé de Pavel Ovtchinikoff
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