Notre calendrier des enchères recense les ventes à venir en France et à l'étranger, triées par date, lieu de vente, maison de ventes et/ou spécialité. Vous pourrez y retrouver les catalogues et accéder directement à la vente grace au bouton "Enchérir". A consulter également à partir de cette page les articles publiés par le magazine en lien avec chaque vente.
Création du designer Gérald Genta, la Royal Oak vit le jour en 1972, inspirée des navires de guerre de la Royal Navy et des scaphandriers. 55 000/85 000 € seront demandés pour une Royal Oak « Jumbo » en acier série A réf. 5402 ST, de 1972. Côté bijoux, on remarquera une rare opale noire en forme de cœur de 49,98 ct (35 000/45 000 €), et côté voitures, un roadster britannique MG type B de 1972 (15 000/17 000 €). On se tournera ensuite vers la peinture avec un Autoportrait de Maria Lassnig (25 000/30 000 €) et The Children Meet Banksy, Hopper, Mel Ramos, Lichtenstein and Haring , brossé en 2020 par Gully (10 000/12 000 €). On admirera pour finir une tapisserie du XVIII e siècle à décor de Diane au bain , à envisager à 7 000/10 000 €.
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Un autoportrait précoce de Maria Lassnig
L'artiste est un des grands noms de la peinture autrichienneLire la suite
Les montres se feront d'abord désirer, à l'image d'un modèle d'Alain Silberstein, « Tourbillon volant », issu d'une édition limitée de 200 pièces, en acier et à fond squelette (6 000/11 000 €). Une montre de dame en platine et or blanc, avec entourage de diamants brillant souligné de deux diamants navette et quatre diamants baguette, au cadran portant une inscription « Cartier Swiss », sera portée contre 5 000/8 000 €. Par la maison Chaumet, le modèle « Khésis » pour dame en or jaune, avec bracelet à maille grain de riz articulée, est estimée 6 500/7 000 €. Quant aux bijoux, ils seront entraînés par une bague en platine sertie d’un solitaire taille ancienne d'environ 2,31 ct (4 000/6 000 €), talonnée par une autre art déco, en platine et ornée d'un diamant demi-taille (2,04 ct) entouré d’émeraudes calibrées (même estimation).
Le dimanche, le contenu d'un hôtel particulier de la ville sera dispersé. Se distingueront un groupe en bronze à patine médaille nuancée d'après Jean-Baptiste Carpeaux, Suzanne surprise, portant le cachet de la « Propriété Carpeaux » (5 000/6 000 €), et une paire d'aiguières casque sur piédouche du début du XVIII e siècle en faïence de Rouen de grand feu, à décor en camaïeu de bleu et rouge de fer à motifs de lambrequins, rinceaux feuillagés et languettes. Ces pièces pourraient avoit été commandées par Victor du Wicquet (1630-1710), chevalier, baron d'Ordre et maître des eaux et forêts du Boulonais. Prévoir 2 000/3 000 € pour leur acquisition. Citons encore une toile peinte par Roger Nivelt, Guerrier africain lobi gaoua , à envisager à 1 500/2 000 €.
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Des aiguières du Boulonnais
Datant du début du XVIII e siècle, cette paire d’aiguières casque sur piédouche est en faïence de...Lire la suite
Liés de manière dramatique à la chute de l’Empire, deux pistolets ayant appartenu à Napoléon I er devraient faire sensation (1,2/1,5 M€, voir Gazette n° 25, page 24). Ils trouveront leur écho dans Le Tombeau de Napoléon à Sainte-Hélène ou L'Apothéose de Napoléon , un tableau allégorique d’Horace Vernet ayant contribué à forger la légende de l’Empereur (60 000/80 000 €), dont un morceau de chapeau, réputé avoir été porté à Austerlitz, a été conservé comme une relique (12 000/15 000 €). Son portrait en bronze doré par Biennais, de la série des « napoléonides » (voir Gazette n° 26, page 45), retrouvera celui de son fidèle cheval, Sélim, peint par Swebach sur une assiette de Sèvres, en 1808 (20 000/30 000 €). Ce n’est pas un hasard, si Napoléon a emporté en exil sa tabatière d’écaille ornée du profil d’Alexandre le Grand (40 000/60 000 €).
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Des pistolets historiques de Napoléon liés à sa tentative de suicide
Chefs-d’œuvre de Gosset, ces armes ont été témoinsLire la suite
Seize planches d’Henri Rivière, dont l’une des 100 lithographies signées et numérotées montrant Le Trieux à Kermarie , en 1912, de la série Le Beau pays de Bretagne (800/1 200 €), ouvrent cette vente dont les estimations grimperont jusqu’à 500 000 à 700 000 € pour Zao Wou-ki, avec une toile de 1977 (voir Gazette n° 25, page 6). Si Jean Paul Riopelle poursuit dans la voie de l’abstraction, Auguste Herbin opte pour une géométrie colorée (100 000/150 000 €, voir Gazette n° 26, page 43), tandis qu’André Derain se tourne vers le fauvisme, avec les Maisons à Collioure , de la collection Fischof-La Foux (400 000/600 000 €). Cadeau d’Henri Manguin à Madame Valloton, en 1910, un vase de roses s’offrira autour de 13 000 €. Une jeune femme, dessinée au crayon par Jean Cocteau (7 000/8 000 €), côtoiera deux demoiselles en conversation sur le Pont-Neuf, immortalisées par François Gall en 1972 (4 000/6 000 €).
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Auguste Herbin fait sa percée
Les années 1940 ont été pour l’artiste celles de l’élaborationLire la suite
Zao Wou-ki, façon période bleue : un tableau inédit aux enchères
Une palette céleste vibre dans ce chef-d’oeuvre deLire la suite
Première session d'une série de trois jours, le lundi 8 juillet, avec un premier catalogue consacré aux jolies gemmes. Une perle naturelle en forme de phallus de couleur blanc et de 199,7 ct, exceptionnelle par sa taille et sa forme, et reproduite dans un catalogue d'exposition du musée d'art islamique de Doha (en 2010), affiche la plus haute estimation du jour à 50 000/80 000 €. Le deuxième lot de la vente est une bague solitaire en or gris serti d'un diamant de taille brillant (11,11 ct) pour 35 000/45 000 €. Plusieurs bagues de grandes signatures sont à guetter dont une monture Boucheron en jonc de platine, serti d'un saphir ovale, (4,94 ct) à 17 000/20 000 €.
Parmi les lots les mieux cotés figureront une bague jonc en platine sertie d'un diamant rond brillant taille moderne d'environ 2,08 ct, de couleur H et pureté VS2 (6 000/8 000 €), et une bague en or blanc sertie d'un saphir de Ceylan ovale de 3,95 ct, épaulé de part et d'autre de diamants ronds taillés en brillant moderne (5 500/6 500 €). À moins que vous ne préfériez un bracelet souple à maille double tressage, amati et poli, à décor de fleurettes ajourées et tressées, centrées de petits saphirs et diamants ? Compter dans ce cas 3 500/4 000 €.
Sport (sur le thème du)
lundi 08 juillet - 14:00 (CEST)
10, rue Claude-Bernard - 28630 Chartres (Le Coudray)
Ivoire - Galerie de Chartres - Maîtres Gody-Baubau, Maiche, Rivière
À l'occasion du passage de la flamme olympique se tiendra à Chartres une vente d'objets de sport. Actualité sportive oblige, on n'y manquera pas une collection de maillots de cyclistes anciens et modernes, parmi lesquels certains portés et dédicacés. Plusieurs modèles du Tour de France seront du peloton : prévoir 500/600 € pour un maillot de l'équipe Gatorade 1993, ayant été porté et dédicacé par Laurent Fignon, de même que pour un autre du même coureur, aux couleurs de l'équipe Castorama de 1991. On notera par ailleurs la présence d'une coupe en argent de forme Médicis réalisée pour les Jeux de Rome vers 1950-1960 (1 200/1 800 €), ou encore une affiche (impression vinyle sous polycarbonate) du Marathon de Poitiers - Futuroscope du 30 mai 2010 par Pascal Delaunay, épreuve numérotée 2/10 (400/600 €).
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Coupe olympique
Lors de la vente d’objets de sport organisée à Chartres par la Ivoire-Galerie de Chartres OVV le lundi...Lire la suite
Le même jour se tient une deuxième session de bijoux et de joaillerie de luxe, représenté par une bague en or gris serti d'un rubis birman (25,45 ct) dans un entourage de diamants (3,24 ct) par Constantino Repossi pour 180 000/250 000 €. Le deuxième lot est également signé Repossi : un collier en 3 puis 4 rangs souples d'or jaune sertis de 461 rubis birman (164 ct) et de deux camélias d'orge gris, sertis de diamants, attendus autour de 130 000/150 000 €. Il sera aussi possible d'acquérir une paire de pendants d'oreilles Repossi, en or gris, sertis d’un diamant retenant un saphir ovale (21,51 et 21,32 ct) à 120 000/150 000 €. Citons encore Chopard et un sautoir en or gris en suite de diamants taillés en briolette (80,40 ct) pouvant recueillir des offres autour de 80 000/100 000 €.
De ce contenu classique, les meilleurs résultats sont attendus sur trois montres : un modèle "Oyster Perpetual Date Sea-Dweller" en acier (lunette noir céramique unidirectionnelle) de chez Rolex et une "Oyster Perpetual Date GMT-Master II Batgirl" , de mêmes facture et marque, pour lesquels 7 000/9 000 € sont demandés successivement ; sans omettre un modèle de dame, estampillé Rolex également, modèle " Lady Oyster Perpetual Datejust " en or rose et acier, lunette lisse, cadran chocolat, annoncé à 2 000/3 000 €.
Quoi de mieux qu'un appareil photo à la veille des vacances ? Comptez 2 000/3 000 € pour ce modèle de la marque Leitz Leica M3 de 1964, proposé avec son sac et différents objectifs. Il s'agit du lot le plus attendu d'une vacation débutant à 13 h 30, ponctuée de plus de trois cents numéros parmi lesquels une lithographie d'Alexander Calder, Les Étoiles , des années 1970 (34/100, même estimation), une sérigraphie de Mr Brainwash, Full of Hearts de 2021 (14/75, 1 000/1 500 €), du mobilier de style et Napoléon III, des livres brochés et reliés, certains en collection « La Pléiade », des bibelots en verre et en céramique, des armes anciennes, des bijoux, de la mode, des jouets mais aussi des arts premiers.
Les vacances se profilent à l'horizon, peut-être au bord de l'Atlantique ou de la grande bleue. L'accessoire idéal pour explorer les fonds marins prend ici le chemin des enchères. Encore conviendra-t-il d'en avoir les moyens… 50 000/80 000 € sont en effet espérés d'un exemplaire de la célèbre Rolex Comex, née d'un partenariat entre les deux entreprises dans les années 1960 et qui a permis à bon nombre de plongeurs de la Comex d'utiliser leurs montres avec un numéro attitré unique. Notre exemplaire a vu le jour vers 1992, son boîtier porte le numéro N399292. Ces messieurs étant décidément très sollicités dans cette vente, on a retenu un exemplaire de la « Royal Oak Jumbo » de chez Audemars-Piguet (vers 1975), estimé 30 000/50 000 €, une « Submariner Marine Nationale » signée Tudor et des années 1980, pour laquelle il est prévu 15 000/20 000 €. Bijou autant que garde-temps enfin, une montre broche d'époque art déco, de la maison Cartier, en or et platine, la lunette sertie de diamants et d'onyx, nécessitera 10 000/15 000 €.
La dispersion de la collection Gilbert Le Meur sera marquée par des œuvres bretonnes ou célébrant la région. On trouvera ainsi aux cimaises un Nu féminin par Maurice Le Scouëzec, daté de 1918 (2 500/3 000 €), et L'Entrée du port de Doëlan, sous le pinceau de l'Espagnol Jean-Bertrand Pegot-Ogier (800/1 200 €). Les designers quimpérois Erwan et Ronan Bouroullec seront également présents, au travers d'un canapé deux places modèle Ploum en tissu bleu électrique, édité par Ligne Roset (1 500/2 000 €). Alentour vous attendent par exemple un vase boule en faïence de Longwy à décor polychrome du modèle Normandie , par Danilo Curetti (1 000/1 500 €), ou une table de salle à manger à piétement étoile en métal chromé et plateau ovale de marbre veiné, par Florence Knoll pour Roche Bobois (800/1 200 €).
Cette vente ouvre les portes de la collection d'un bibliophile alençonnais. Deux cent cinquante ouvrages et brochures anciens s'y côtoient, les plus modestes estimés quelques dizaines à quelques centaines d'euros. 4 000/6 000 € en revanche pourraient accueillir tant un exemplaire en trois volumes de l'ouvrage de Pierre Méchain et Jean-Baptiste Delambre, Base du système métrique décimal ou mesure de l'arc du méridien compris entre les parallèles de Dunkerque et Barcelone (Paris, 1806-1810, in-4°, demi-veau d'époque) qu'un ensemble d'environ 530 brochures in-8°, la majorité réunie en 4 volumes reliés, du fameux journal révolutionnaire créé et publié par Marat, Le Publiciste parisien . Pourrait les rejoindre sur le podium un ensemble de six volumes in-8° (les cinq premiers brochés) illustrés dont les Mémoires de chirurgie militaire du baron Jean-Dominique Larrey, qui œuvra notamment lors de l'expédition d'Égypte (4 000/5 000 €). Les accompagnent, entre autres, des mazarinades, des brochures du Père Duchêne , les œuvres complètes de Balzac, des ouvrages de Turgot, Champollion ( Dictionnaire égyptien en écriture hiéroglyphique , Paris 1841, 1 500/2 000 €), du baron d'Holbach, ou encore de Silvestre de Sacy.
Autre catalogue de bijoux, le mardi 9 juillet, il faudra débourser jusqu'à 600 000/800 000 € pour espérer repartir avec une bague Van Cleef & Arpels, en or jaune, sertie d'un saphir du Cachemire (8,78 ct). Un exceptionnel bracelet Bulgari, une pièce unique en or jaune entièrement pavée de diamants (18,27 ct) pourrait changer de mains autour de 250 000/350 000 €. Du côté des garde-temps, il faudra épingler une montre de dame Cartier, « Rêve de panthères » , en or gris, entièrement pavée de diamant, une pièce datée vers 2016 (150 000/250 000 €).
Les amateurs d'objets d'art et de mobilier se réuniront les 9 et 10 (juillet), le premier jour à 17 h, le second à 14 h. Les meilleurs résultats sont prévus au cours de la vacation du mardi. Ainsi 70 000/100 000 € seront nécessaires pour emporter un bureau plat d'époque Régence en placage de satiné et amarante, bronzes dorés ciselés et dessus gainé de cuir doré aux petits fers attribué à Charles Cressent – excusez du peu –, 50 000/80 000 € d'une figure de L'Hercule Farnèse en terre cuite du Flamand Laurent Delvaux (1696-1778), 40 000/60 000 € d'un cabinet, dit Kunstschrank , d'Allemagne du Sud début XVII e , en ébène, placage d'ébène et incrustations d'ivoire toutes faces. Une même fourchette d'estimations bénéficie à une pendule lyre fin Louis XVI-début de l'époque Révolutionnaire, en porcelaine tendre de Sèvres beau bleu, bronzes ciselés dorés, signée de l'horloger parisien Jacques François Vaillant. Enfin, il pourrait en coûter 30 000/50 000 € que l'on se déplace pour une commode d'époque Transition attribuée à Simon Oeben en satiné et placage de satiné, dessus de marbre des Flandres et bronzes dorés ciselés ou pour une paire de porte-torchères en bois sculpté doré, d'époque Louis XVI et dans le goût de Georges Jacob.
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Cressent, Delvaux et Christofle
La vente du soir d’Artcurial met à l’honneur quelquesLire la suite
Toujours le mardi 9 juillet, la maison donne un second rendez-vous dédié aux montres de collection avec une Royal Oak chez Piguet, un modèle concept « CW1 tourbillon » , vers 2003 (120 000/140 000 €). Pour 70 000/90 000 €, il sera possible de repartir avec une édition limitée à 100 exemplaires (numéro 44 sur 100) d'une Hublot Big Bang, avec un boîtier en saphir jaune, au mouvement mécanique à remontage automatique vers 2022. Une Patek Philippe, « World time » , au cadran en or émaillé représentant une carte du monde, au boîtier en or jaune 18 ct, attend les offres autour de 60 000/80 000 €. Rolex enfin : une « Day Date Masterpiece Tridor » à la lunette en or jaune sertie de diamants, vers 1995, ne devrait pas s'adjuger au-delà de 30 000/40 000 €.
Six litres de château-latour mis en bouteille en 1995, soit une impériale, seront à partager entre 2 500 et 3 000 €. Différents millésimes de petrus seront en lice : 1988 entre 1 300 et 1 700 €, mais aussi 1989 et 1990 moyennant 2 000 à 2 500 € la bouteille. Côté alcools, vous trouverez des flacons de rhum J. Bally et Trois Rivières dans une fourchette de 250 à 300 €, pour les années 1957 à 1989. Le whisky sera également au rendez-vous. Il en coûtera ainsi environ 1 850 € pour un Springbank 1974, un single malt écossais distillé en 1974 et mis en bouteille en 1994. Un fût de la même maison, d'une contenance de 5 litres et renfermant 2,75 litres de spiritueux, issus d'une production de 1967 et conditionnés en 1996, nécessitera entre 10 000 et 30 000 €.
Argenterie, bijoux, montres, objets de vitrine, archéologie, sculptures, bronzes, tableaux anciens et modernes, instruments de musique, verreries, céramiques, arts d'Asie
mercredi 10 juillet - 15:00 (CEST)
143, avenue du 8-Mai-1945 - 19100 Brive-la-Gaillarde
À 40 000/60 000 €, c'est la fonte posthume d'une œuvre d'Auguste Rodin, La Toilette de Vénus et Andromède , qui dominera les estimations. Numéroté 5/8, ce bronze a été édité en 1987 par le musée Rodin et le fondeur Godard et provient de la collection de Gérard Depardieu. De même provenance, la Muse tragique de Rodin, également éditée par le musée en 1987, est attendue à 25 000/35 000 €. Il faudra ensuite envisager 40 000/50 000 € pour une toile de Jacques Monory, Last News Couleur n° 21 de 2004, à la palette bleu froid typique du travail de ce peintre du mouvement de la figuration narrative. Des arts du XX e siècle, nous remarquerons encore Colère Europa, réalisé en 2004 par Arman à 99 exemplaires (2 500/3 500 €).
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Une célèbre toilette
Il faudra envisager 80 000/120 000 € le mercredi 10 juillet à Brive-la-Gaillarde pour ce bronze à...Lire la suite
Le meilleur score de ce programme au cours duquel il sera possible de se voir adjuger un meuble, un luminaire, un objet de décoration est destiné à une paire de fauteuils de Carlo Mollino, en laiton et textile (modèle créé en 1950), estimé 8 000/12 000 €. Il est accompagné entre autres d'un grand tapis indien en coton bleu (570 x 560 cm, 6 000/9 000 €), d'une tapisserie en laine de Mathieu Matégot tissée dans les ateliers Pinton à Aubusson, modèle Aconcagua (n°3/6, créé vers 1955, 3 500/4 500 €), d'une commode de Pierre Cardin en bois laqué, fer et laiton (modèle créé vers 1980, 2 000/3 000 €).
Cette série de ventes se clôture le mercredi 10 juillet avec une session d'art moderne et contemporain dont les estimations ne dépassent pas 150 000/180 000 € pour Étretat, barque au pied des falaises , une huile sur toile de 1972, signée Bernard Buffet. Une autre huile de Bernard Buffet, Café, Hôtel, Garage de 1990 est, elle, prisée 80 000/100 000€. Parmi les plus hautes estimations, on remarque encore une Nuit solitaire, une huile sur toile de 1989 par Georges Mathieu (60 000/80 000 €) et un Champ de coquelicots , vers 1922, par Maurice de Vlaminck (30 000/40 000 €).
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La Normandie de Bernard Buffet
Étretat, barques au pied des falaises reprend lesLire la suite
Jean Cocteau, Roger Capron, Georges Jouve, Pablo Picasso, Jacques et Dani Ruelland sont les noms à retenir d'une fin d'après-midi dédiée aux céramiques des années 1950, où les plats, plaques, pichets et assiettes voisinent avec des petites sculptures et des tables basses, les estimations oscillant de 200 à 6 000/7 000 €.
La 5 e édition de Monaco Sculpture disperse, entre autres, dix-sept œuvres issues de la collection de Patrice Trigano avec, en tête, César et Fanny Fanny de 1990 (400 000/600 000 €) et Le Sein , un bronze acquis en 1990 par Trigano auprès de Boquel (180 000/280 000 €). César est accompagné de Sleep Personality (Grand Hermès), un bronze de 1995 par Arman (50 000/70 000 €) et L a Sévillane (Femme lune), un bronze de 2006 par Philippe Hiquily (80 000/120 000 €). Un chef-d’œuvre de Jean-Michel Othoniel (100 000/200 000 €), issu d’une collection française, promet également d’attirer l’attention des collectionneurs avertis : Le Grand Lasso , en boules de verre miroitées, Inox et acier, est une pièce unique de 2011.
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Fanny Fanny, un bronze fantasque de César
Ce monumental gallinacé post-industriel est issu deLire la suite
Un important ensemble de pièces signées de Pierre Chapo marquera les temps forts de cette vente. On y retrouvera la maîtrise du bois brut de l'ébéniste ainsi que son goût pour les lignes épurées et géométriques. 8 000/12 000 € sont à envisager pour un bahut R 28B en orme massif huilé, ouvrant par quatre tiroirs à l'extrémité gauche, trois vantaux et une vitrine fumée, et 2 200/4 400 € pour une suite de cinq chaises CHLACC S45, en tissage de lamelles d'orme huilé, à haut dossier triangulaire et assise légèrement incurvée. Mais la plus haute estimation reviendra à une ménagère de Victor Boivin en argent et vermeil, à décor de style rocaille et chiffrée « QM », dont on attend 23 000/30 000 €. Concluons sur une épreuve en bronze à patine verte de l' Aigle à l'aile déployée d'André Vincent Becquerel, datée vers 1935 (2 500/5 000 €).
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Une ménagère de poids
Frère du joaillier René Boivin, Victor Boivin (1856-1927) succède à son père Jules en janvier 1881 à...Lire la suite
Lumière sur les notaires, notamment avec une collection de jetons de différentes régions, comme un modèle de 1748 en argent, mentionnant les conseillers du roi et notaires d’Auxerre sur une face, et montrant Louis XV sur l'autre (dans un lot de dix, entre 200 et 300 €). Environ 1 300 € seront requis pour quatre pièces suisses de 20 francs or "Croix Suisse", type "Vreneli", de 1947. Assis sur un piano Bonnel, tous les instruments de musique dans les bras, Pierrot vantera la maison centenaire Bossard-Bonnel sur une affiche de 1925, d'après Betto Lotti (200/300 €). Les collectionneurs de Lalique retiendront un vase boule créé en 1920 et orné de plumes (400/600 €). Le Retour des sardiniers au soleil couchant sera évoqué au pastel par Mathurin Janssaud (400/600 €). Une commode Régence en noyer changera d'intérieur auour de 1 000 €.
Ces trois jours d'enchères commencent par la dispersion le jeudi 11 de lithographies d'artistes. Ainsi d'une affiche en couleurs sur papier vélin de Marc Chagall , Céramiques, imprimée en 1962, à détailler contre 1 500/2 000 €… Côté photographie, ce tirage d'André Villers intitulé Les Yeux de Picasso, Cannes, en 1955 , avec cachet de l'auteur, devrait attirer 1 200/1 500 €, tandis que du même, Picasso à la Californie, Cannes, en 1956 , un autre tirage argentique, nécessitera 1 000/1 200 €.
Ce sont les Britanniques qui dominent ce catalogue avec Walter Richard Sickert et son Pont de Rialto , un tableau passé par la galerie Bernheim à Paris. L'huile, peinte vers 1901, est estimée 100 000/1500 000 £. Du même peintre, Une maison à vendre, Dieppe , vers 1885, est attendue autour de 40 000/60 000 £. Citons encore Angela Conner (née en 1935) et son bronze Lucian Freud , représentant le célèbre psychanalyste (20 000/30 000 00 £). Parmi les Français de cette sélection, citons Eugène Boudin avec une huile sur toile de 1881, Trouville, le port, le matin , pour 30 000/40 000 00 £ et l' Arc de triomphe du carrousel , un travail à la gouache et l’aquarelle par Jean Dufy (15 000/25 000 £).
Il devrait être difficile de ne pas repartir avec une parure ou une montre dans cette salle où près de cinq cents numéros se succèderont, estimés d'une petite centaine à 4 000/5 000 € pour l'essentiel, de 7 000/8 000 à 15 000 € pour quelques-uns. Les bijoux XIX e ouvrent la marche, et sont suivis de bagues, broches, colliers, sautoirs, boutons de manchette, boucles et pendants d'oreilles, bracelets, etc., ornés de pierres précieuses ou ornementales, XX e et même contemporains, certains signés. Côté montres, le choix se portera sur les marques Ebel, Movado, Breitling, Girard-Perregaux, Cartier, Lip, Tag Heuer, Marbex, Franck Muller, Mauboussin, Dior, Chaumet, Edox, Elgin, Omega ou Florus.
Vente classique : manettes, livres, dessins et tableaux, mobilier et objets d'art
Une dizaine à 2 000/3 000 €, telle est la fourchette des enchères qui devraient être prononcées dans cette salle où sont annoncés des arts africains, des tableaux et des multiples, des bibelots, du mobilier de style ou XX e .
Si c'est un bracelet articulé en forme de serpent, en or jaune et émail translucide vert, serti de brillants et centré d'un cabochon de rubis, qui dominera les estimations (12 000/15 000 €), nous attirerons également votre attention sur un Paysage animé d'un artiste de la première moitié du XVII e siècle de l'entourage d'Adriaen Van Stalbemt (6 000/8 000 €), ainsi que sur plusieurs toiles de l'artiste algérienne Baya. 4 000/6 000 € sont à prévoir pour la gouache Femmes, fleurs, luths, paons et maisons , de 1990, ou pour une Maternité de la même année. Concluons sur un Portrait de Charles X attribué au peintre du XIXe Georges Rouget, dont on attend 3 000/5 000 €.
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Paysage flamand
Un bel effet de brume domine ce Paysage animé d’un artiste de l’école flamande de la première moitié...Lire la suite
Cette vente intitulée « Ar Seiz Avel » mettra en avant la scène contemporaine bretonne. Parmi les cinquante-cinq artistes choisis, en fonction de critères stricts sur les valeurs d'ouverture au monde et d'attachement à la région, se distinguera Anouchka Potdevin avec Cage(s) de 2024, un siège indiscret composé de trois assises en forme de cage en acier thermolaqué : une étonnante structure, à envisager à 8 000/12 000 €. Toutes les disciplines seront illustrées. L'univers de la joaillerie sera ainsi représenté par Alix Dumas, dont la bague Déferlante de 2022 en or gris palladié et argent recyclé noirci, à décor d'une vague sertie de quarante-huit diamants et de cent dix saphirs, pourrait atteindre les 30 000/40 000 €. On se tournera ensuite vers le textile avec Les Grands Cercles jaunes de Mathias Ouvrard, s'inspirant des cercles traditionnels bigoudens, œuvre datée de 2020 en velours de soie et viscose jaune découpés à la main, aux ciseaux et à l'emporte-pièce et réalisé en thermocollage sur organza de soie jaune : une pièce unique estimée 5 500/6 500 €. Concluons sur le collectif Pevarzek, qui proposera plusieurs créations dont un paravent à cinq feuilles Paravel Koad Sav de 2024, en chêne, huile dure naturelle, teinte noire, peinture en or riche et gravure en creux. Prévoir 5 000/6 000 € pour son acquisition.
Articles avant-vente
Pevarzek, Adelfang, Faligot : le souffle contemporain de la Bretagne
Rennes Enchères Bretagne continue de mettre en avantLire la suite
Nombre de tableaux anciens et modernes peupleront les cimaises de cette session. À commencer par un Portrait d'élégante au collier de perles , brossé sur toile par Paul-Jean Gervais vers 1920, à envisager autour de 1 200/1 800 €. Suivra une œuvre de l'école italienne du XVIII e siècle par un suiveur de Pietro Paltronieri, dit il Mirandolese, ce Caprice architectural animé sur toile (1 000/1 200 €). Côté contemporain, deux techniques mixte sur toile d'Alan Berg (né en 1948), l'une intitulée Jimmy et l'autre Sex and the City, attireront chacune 650/800 €.
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